[PaL] Les Trois Balais

Heureux et fiers de sortir de votre immense école qui est Poudlard pour une après-midi fantastique à passer auprès de vos amis, c'est à Pré-au-Lard que vous allez. Après avoir fait signer votre autorisation de sortie, vous embarquez pour le village sorcier dans les calèches dirigées par des Sombrals, lesquels vont semblent soit totalement invisibles soit vous apparaissent de manière macabre. Votre premier arrêt est à l'entrée du village, là où s'élève le fameux pub que sont les Trois Balais. Un peu à l'écart des autres enseignes et plus accessible aux sorciers, il est réputé pour servir sa si tendre Bierraubeurre ou pour sa si tendre barman Rosmerta qui a charmé plus d'un client par son agréable physique. Élèves ou adultes, vous y trouverez votre bonheur s'il est dans votre but que de vous rafraichir le gosier. Les Trois Balais sont fortement populaires et surtout très bruyants lorsque les élèves de Poudlard viennent y faire un petit tour en compagnie de leurs amis. Que choisirez-vous pour vous délecter : Bierraubeurre ou du sirop de cerise soda accompagné de sa boule de glace ?

:!: Attention: Aucune boisson alcoolisée ne sera servie aux élèves de premier cycle. Attention aux malotrus qui ont encore dérobés une bouteille de Whisky Pur-Feu, si Rosmerta vous attrape, vous risquez de le regretter.

Règlement RPGique à respecter [LIEN]
Orthographe, syntaxe et cohérence ainsi que 15 lignes pleines minimum sont à respecter.

C'était une belle après-midi ensoleillée où j'étais à Pré-Au-Lard Il était temps pour moi de m'écarter un peu des ruelles de Pré-Au-Lard. J'allais marcher pour chercher une inspiration, pour pouvoir écrire un nouvel article. Il me fallait trouver l'inspiration au plus vite, si je voulais rédiger un article qui convienne au Journal. Ainsi, j'espérais trouver cette inspiration en marchant un peu. Mais en restant dans les rues " traditionnelles " et baignées par le bruit, j'étais lion de la trouver. Alors, je marchais, comme une personne un peu perdue, ce que je n'étais pas du tout. Je ne savais pas encore où j'allais aller, mais j'avais aussi envie de marcher, de profiter de temps assez doux de ce début de l'automne.

A un moment là, je réfléchissais . Où allais-je me rendre ? Je décidais de marcher en direction des Trois- Balais. Ainsi, quand j'aurais soif, je pourrais boire quelque chose là-bas tout en réfléchissant à mon prochain article. je pourrais aussi écouter les potins pour m'aider. C'était définitivement la meilleure idée. Alors, je marchais. Ma pochette à la main, un stylo dans ma veste, je m'avançais. le soleil ne me brûlait pas, contrairement au soleil de cet été qui m'avait insupporté. Je voyais le paysage, tout en admirant les ruelles vides . Bientôt, j'entrevoyais le pub avec soulagement. J'avais la gorge sèche et j'avais très envie d'aller boire un peu et me reposer.

Bientôt, j'arrivais au pub. je poussais la porte. Le pub était bondé. J en'avais décidément pas de chance, et durant un instant , l'envie de partir me prit. Mais j'avais bien envie de me prouver que je pouvais passer tout ce monde et aller m'asseoir. Je me frayais un chemin, et je me dirigeais vers un barmaid :

~ Bonjour. Je voudrais un soda à la cerise...Oh, et j'oubliais, avec une paille bleue, si possible.

Je déposais les pièces sur le comptoir et le barmaid hocha la tête. Je comprenais qu'il allait me préparer ma boisson. D'un signe vif de la tête, il me fit comprendre que je pouvais aller m'installer. Je voyais un table contre une fenêtre, où personne n'était assis. très bien ! J'aurais de la place. Avec un petit sourire satisfait, je me dirigeais là-bas. Je m'asseyais. J'espérais recevoir bientôt ma boisson, mais en attendant, je regardais par la fenêtre....

**▸ GRADE(S)** : **RETRAITÉ** **▸ MESSAGES** : 1001

Le jeune rédacteur venait de mettre le point final sur deux parchemins contenant les derniers articles de la prochaine parution. Il revenait de la volière ou il avait envoyé un hiboux à sa Directrice de Maison et l'autre à la Photographe en Chef qui organisé un concours à ce sujet. Il avait gardé une copie soigneusement dans sa poche intérieur de sa robe de sorcier noir, avec l'écusson de la plus noble des maisons. Maintenant, qu'il avait terminé au moins cette grosse partie de travail, il pouvait prendre une petite pause et il décida de prendre la direction de Prés-Au-Lard ou il avait une petite idée en tête, un petit remontant lui ferait le plus grand bien !

*** Prés-Au-Lard ***

Il avait traversé le petit pont menant au village en bas de l'école, et il gambadé quelque peu dans les ruelles étroites et sombres de du petit village qui s'offrait à lui. L'air frais lui tapotait sur le visage et il aimait ça. Il secoua ses cheveux d'un bleu éclatant au vent, quand il vit l'insigne du pub légendairement réputé, les Trois-Balais. Il en fit donc sa direction, et avança d'un pas léger et frêle pour aller se mettre près de la cheminée, et boire son fameux petit remontant. Il poussa la porte, entra sans se faire remarqué et se faufila tel une anguille jusqu'au bar. Il commanda un verre de bièraubeurre, paya, le prit et quitta ce dernier pour trouvé une place inoccupé. Il fouilla la salle de long en large à la recherche d'une table disponible, mais tout avait au moins une personne. Mais il remarqua, à une table un peu isolé près d'une fenêtre, sa concurrente au poste de rédacteur. Au final, la Rédactrice-en-Chef eu tellement de mal à les dissocier, qu'elle eu prit les deux. Il s'avança donc prêt d'elle, et lui demanda avec un large sourire :

"Coucou Jersey. Comment vas-tu ? Je peux m'assoir avec toi ?"

Je sirotais lentement mon soda. D'ordinaire, je n'aimais pas plus que cela les cerises, mais le soda aux cerises était exquis. Avec une paille en plus ! Mon père me disait souvent que boire avec une paille était une mauvaise habitude, mais je ne voyais pas du tout où il allait bien chercher ça. De toute façon , rares étaient les fois où j'écoutais mon père pour ce genre de choses tout à fait ridicules. Si je voulais boire avec une paille, il ne serais pas là pour m'en empêcher ! Et puis, ce n'était pas comme si je venais d'avoir mes toutes premières dents - quoique même dans ce cas là, ça n'aurait pas non plus été très dangereux. Je trouvais que la boisson s'écoulait plus lentement et que j'en profitais plus. J'en était déjà à la moitié de ma boisson. Mais au lieu de boire, j'avais des articles à finir ! Je n'avais aucune idée de comment j'allais les finir, mais il fallait bien que je les fasse ! Le pub était plein, et je pourrais entendre des choses pour en faire un bel article . Restait à tendre l'oreille. Je sortais mon stylo et laissais mon petit carnet dans ma sacoche : chose stupide. Alors, une voix se posa près de moi. " Coucou Jersey. Comment vas-tu ? Je peux m'asseoir avec toi ? "Je reconnaissais dans l'immédiat la voix. C'était celle de Bleuet, celui qui m'avait fait concurrence au poste de rédactrice. Au final, nous avions tous deux le poste. Une bonne chose, au final, puis qu’ainsi, nous étions plus. Je tournais vers lui la tête et, lui rendant son sourire, lui dit :

~ Salut Bleuet . Pour moi tout va bien, mis à part que je cherche un peu pour mon prochain article. Et toi, tu vas bien ? Assieds-toi !

Ainsi donc, il était là au même moment que moi. Riche coïncidence. Après avoir lâché ces quelques phrases, je buvais une petite gorgée de soda, comme persuadée que celui-ci allait m'apporter des nouvelles et des choses intéressantes. Mes doigts jouaient avec le stylo, mon petit carnet dans ma sacoche. Au final, j'avais plein de choses à lui demander. Je ne voulais cependant pas le questionner d'une façon digne d'un interrogatoire de police, et même si j'étais curieuse, je resterais comme à mon habitude. Mais au final, la première de mes questions fut elle-ci :

~ Au fait, tout va bien, avec les articles ?

**▸ GRADE(S)** : **RETRAITÉ** **▸ MESSAGES** : 1001

Le jeune préfet d'Equus s'était accordé une pause dans ses écrit, il avait tout de même fait la rédaction de deux articles. C'était plutôt satisfaisant pour une recrue toute fraîche. Il venait de demander à sa nouvelle collègue si il pouvait siroter son verre à ses côté, et elle avait répondus favorable accompagné d'un gentil petit sourire trop chou. Il s'empressa donc de s'assoir face à elle, sirota une nouvelle gorgée et l'écoute.

"Je vais très bien, oui. Merci."

Elle avait l'air vraiment prise par ses pensées. Le jeune rédacteur était à peu près persuadé que tout le travail restant à faire pour la parution prochaine était entrain de travailler la jeune Serpentard. Après tout, c'était leur première parution à eux. Enfin, à eux, plutôt ou il faisait partie de l'équipe. Elle voulait d'ailleurs savoir si le jeune Aphrodisia s'en sortait lui. Et au final, c'était le cas à merveille. Son énergie débordante et son imagination à toute épreuve lui était vraiment très utile dans ce nouveau travail. Il avait passé sa matinée dessus, peut être, mais il avait réalisé ses deux articles et avait la trame de son troisième. Trois articles en une parution c'était déjà plutôt pas mauvais du tout. Pour son goût en tout cas. Mais il réalisa qu'il fallait peut être qu'il prenne soin de sa collègue.

"Et toi ? Tu t'en sors avec tes articles ma petite Jer' ? Car moi j'ai déjà réalisé mes deux articles, et j'ai finis la trame de mon dernier."

Il sirota une dernière gorgée de son verre, et claqua des doigts pour recommander la même chose. Il regarde la jeune fille face à lui, qui avait à peine finis et lui proposa avec sa plus grande gentillesse :

"Tu veux sa petite soeur ? Je te l'offre."

Bleuet s'assit face à moi. Parfait, au milieu de ce bruit, nous allions pouvoir discuter tranquillement....ce qui paraissait invraisemblable, vu le bruit qui venait m'écorcher les oreilles ! Lorsque je lui demandais si il allait bien, il me répondit que oui. Je hochais la tête avec un grand sourire, très heureuse qu'il aille bien. De mon côté, j'avais plein de choses à faire niveau articles. Je commençais à peine à m'adapter, mais j'étais très heureuse d’avoir été prise . Bleuet me demanda très gentiment si je m'en sortais niveau articles. J'aurais aimé lui répondre que je m'en sortais à merveille, mais la vérité était qu'il fallait que je cherche un peu partout niveau potins !Lui en avait déjà fini deux et finissais son troisième. Moi, je n'en avais eu que deux à faire. Le premier était déjà fini, le second en cours d'écriture.

~ Oh, j'ai fini mon premier, il ne me reste plus que les potins à faire ! Mais là, j'avoue qu'il faut que je cherche un peu partout...mais c'est drôle, comme sujet !

Je m'amusais à écrire. C'était depuis ma plus tendre enfance comme un passe-temps pour moi, mais maintenant, c'était devenu une nécessité. Mais je n'avais pas grandi que dans le monde littéraire. Mon père jouait du piano et il avait essayé de m'inculquer les bases de cet instrument. Il jouait sonates, polonaises valses et autres morceaux tous plus beaux les uns que les autres qui m'avaient donné l'amour de la musique. Dans la chambre, ou figurait un piano boisé magnifique, je m’entraînais et demandais dès que mon père avait un instant qu'il m'aide. C'est surtout cela qui nous a approchés. J'aurais voulu savoir jouer du violon, de la guitare mais le piano et sa résonance m'enchantaient. Etre al dernière de la famille avait des inconvénients, mais des avantages également. Surtout celui d'avoir été la seule à tenir cet enseignement musical de mon père. Ensuite, Bleuet me proposa avec une infinie gentillesse une boisson. Avec un grand sourire, je lui répondis :

~ C'est adorable !

Et je prenais.

**▸ GRADE(S)** : **RETRAITÉ** **▸ MESSAGES** : 1001

Bleuet avait aucun mal à comprendre sa collègue de travail de rédaction. Ecrire un article n'étais pas la chose la plus simple qu'il soit, au que non. Il fallait de l'inspiration, de la motivation, et surtout une bonne dose d'humour. Essayez d'écrire un article sans cela, et vous verrez que ça ne mènera à rien. Vraiment, à rien. Ça serait du grand n'importe quoi, ni plus, ni moins. Bleuet avait cet avantage, une imagination débordante et il adorait écrire, ce qu'il l'aidait grandement dans son travail puisqu'il n'étais jamais à cour d'idée. Il pouvait même lui en apporter un petit peu si il fallait. D'ailleurs ! Elle faisait mention de son article en court de rédaction, et il ne put s'empêcher d'ajouter :

"Attend, niveau potin. Tu trouves pas que le fait que Juune ai autant de grade cache quelque chose ?" Il baissa la voix d'un ton pour continuer plus ... Discrètement. "J'ai ouie dire qu'elle ferait des petits truc à Mina, dans le haut bureau. Après je dis ça, je dis rien."

Il ne put s'empêcher de lâcher un petit rire, car l'idée venait de lui faire un petit flash dans la tête et il imaginé quelque peu la scène. Il avait bien prit l'assurance que personne ne l'avait écouté. Ce qui se passe pour les bureaux du journal, devait y rester. Ce job apportait un sacré avantage, on savait absolument tout sur Epic, même les trucs faux ! Il remarqua au passage qu'elle accepta la boisson. Il claqua des doigts, et demanda au garçon la même chose. Il n'allait pas tarder, et poursuivit.

"Mais de rien, c'est tout à fait naturel."

Bleuet avait fini ses articles. Je songeais alors que j'étais bien bête de ne pas les avoir finalisés déjà. Lui semblait dans une parfaite sérénité. Quant à moi, je cachait très bien ma nervosité. C'était la première parution à laquelle je contribuais avec mes articles, et j'avais peur qu'ils ne plaisent pas. Néanmoins, j'avais cette qualité de ne pas laisser transparaître mes plus profonds sentiments, et seules quelques personnes arrivaient à déceler ces sentiments. J'étais capable de paraître heureuse alors que j'avais envie de défoncer des meubles entiers ! " "Attends, niveau potins. Tu trouves pas que le fait que Junne ai autant de grades cache quelque chose ?" " me dit alors Bleuet. Avec un petit sourire, je réprimais un rire. J'y avais déjà pensé. " J'ai ouie dire qu'elle ferait des petits truc à Mina, dans le haut bureau. Après je dis ça, je dis rien." " ajouta-t-il . Cette fois, je portais ma main à ma bouche pour éviter de laisser plus entendre mon rire. Mais j'avais quelque chose à lui demander, aussi. En effet, j'étais persuadée que son amour pour le Bleu pouvait le pousser à redécorer tout ce qu'il pouvait avec cette couleur. Et j'avais donc quelque chose d'assez drôle à lui demander.

~ Il faudra que je mène un peu mon enquête ! Au fait, si tu pouvais refaire le monde tout en bleu, tu le ferais ? Nan parce que toi aussi, ça m'intéresse, tu sais....

Bleuet m'avait proposé une boisson. Avec un grand sourire, je l'avais acceptée et remercié. Celui-ci, gardant de sa gentillesse me répondit alors : " "Mais de rien, c'est tout à fait naturel." Tout cela après avoir recommandé une boisson pour lui. Avec ma paille, je mélangeais un peu ma boisson. J'aimais beaucoup venir aux Trois-Balais, cela me permettait d'une de profiter de leur prodigieuses boissons, mais aussi de retrouver de mes amis, ce qui était d'autant plus agréable. Combiner les deux était parfait. Enfin, je portais le breuvage à mes lèvres. Une boisson exquise. quelques secondes plus tard, je continuais :

~ Sinon, tout va bien à Equus, pour toi ?

**▸ GRADE(S)** : **RETRAITÉ** **▸ MESSAGES** : 1001

Une assurance même pour son travail, faisait de lui un excellent préfet et rédacteur. Tout son travail pour la parution prochaine était au point, il n'avait plus qu'à attendre le lancement de création de la suivante. Il avait même réalisé sa critique d'oeuvre littéraire. Il aimait mettre tout son énergie au sein de quelque chose auquel il tenait, comme cette école. C'est pourquoi il venait de postuler également pour entrer dans l'équipe des Veilleur et il avait était prit pour deux semaines d'essai à la suite desquelles il serait soit engagé en titulaire soit recalé. Entre toute ses pensées, Jer' lui posa une question quelque peu étrange, elle voulait savoir si pour lui le bleu était quelque chose de centrale dans sa vie.

"Si je suis capable de refaire le monde en bleu ? Évidemment. Et je parle d'un jolie bleu électrique hein ? Pas celui qui est totalement moche des Serdaigle..."

Il aimait le bleu par dessus tout. C'était la couleur qu'il le caractérisé le plus, bien que par son don ça soit représentatif de la peur. Il est vrai que contrairement à son oncle, c'était plutôt quelqu'un de très timide. Jamais il n'oserait démonté une personne de sans froid, de face, avec la parole et la voir souffrir devant soit... Sans aucun remord. Cependant, la jeune fille en sa présence lui demanda comment c'était dans sa maison. Il sirota une petite gorgée. Sa maison ? Quel paradis, c'était surement une des meilleures. Faut dire aussi que la Diréctrice était vraiment passionné par son travail, et lui aussi, donc ça formé un très bon duo.

"Equus c'est vraiment le pieds. Je m'éclate comme un fou. En plus avec mon insigne, je fais un peu la loi. Aha ! Et toi, Serpentard ?"

Il réfléchit, et vus son troisième insignes. Il avait envie de lui rappeler qu'il était une nouvelle fois dans la même équipe que elle. Il lui dit :

"Et tu as remarqué que on est aussi tout les deux veilleurs ?"

" "Si je suis capable de refaire le monde en bleu ? Évidemment. Et je parle d'un jolie bleu électrique hein ? Pas celui qui est totalement moche des Serdaigle.." je réprimais un rire ! J'entendais bien sûr son bleu à " lui " , le bleu que je trouvais très stylé. Je savais bien qu'il aimait beaucoup le bleu. Et même si moi j'adorais el vert, au point d'en faire une obsession, il semblait aimer plus le bleu que moi el vert !Pour seule réponse, je me contentais d'un petit sourire adorable. Mais mes questions ne s'arrêtèrent pas là ! Je lui avait demandé comment ça se passait pour lui dans sa maison. Moi, j'étais à Serpentard. Il me répondit : "Equus c'est vraiment le pieds. Je m'éclate comme un fou. En plus avec mon insigne, je fais un peu la loi. Aha ! Et toi, Serpentard ?" Serpentard ? Parfait. La maison qui me correspondait. Les cachots étaient toujours animés, et porter le blason vert et argent était pour moi une grande fierté. Equus devait être bien, aussi, toujours était-il que j'adorais ma maison. Il m'avait présenté sa maison comme quelque chose de génial, et je lui faisait confiance. C'était sans doute vrai. En plus, notre supérieure en tant que rédacteurs était sa DDM, encore mieux pour lui !

~ Serpy ? Tout est parfait. On ne s'ennuie jamais dans les cachots et les gens sont géniaux. C'est vrai, tu es préfet ! Ça doit être bien. Je m'amuse beaucoup aussi dans notre salle commune, c'est vrai !

Alors, Bleuet continua de parler "Et tu as remarqué que on est aussi tout les deux veilleurs ?" Je ne m'en étais même pas souvenue ! Il fallait savoir que j'étais rédactrice, tout comme Bleuet, et également veilleuse, comme lui aussi. J'adorais ce poste. Veiller sur le château le soir, avant que les préfets prennent la relève ainsi que le matin était un grand plaisir pour moi. Et puis, je n'étais pas du genre à beaucoup dormir, alors, autant me rendre utile ! Mais il fallait aussi que je lui réponde, à Bleuet, car il devait attendre ma réponse

~ Oui, c'est cool, hein ? !

**▸ GRADE(S)** : **RETRAITÉ** **▸ MESSAGES** : 1001

HS : Désolé du temps d'attente, je fais ce que je peux. T.T

Il était tout de même à son deuxième verres, non pas qu'il tenait pas l'alcool mais il avait encore du boulot derrière lui et en était fier d'en avoir la responsabilité. Il venait d'ailleurs de rendre ses derniers articles à Sacha pour la parution du mois. Les deux compères parlaient de leurs maisons respective, bien que leurs blason prônait une différence net, ça ne les empêchait pas du tout d'être un duo de collègue hors pairs. Elle lui tenait un petit discours sur le fait qu'elle aimait beaucoup sa salle commune, c'est pourquoi, tout de suite une idée lui vint en tête.

Mais pourquoi ne postules tu pas en tant que Préfète ! Je sais que Evan en recherche une ou un ! Tente ta chance, on aurait une fois de plus le même parcours !

Il fallait reconnaitre que les deux travaillaient déjà ensemble dans deux domaines, pourquoi pas un petit troisième ? Qui sait, peut être qu'un jour il serait Directeur Adjoint tout les deux, une fois leurs études fournis ? Il l'avait fait remarqué à Jersey, qui elle aussi trouvé ça cool. Et le plus beau dans tous ça c'est qu'ils avaient bouclé leurs premier numéro ensemble.

Et un journal de fait ma poule ! D'attaque pour le mois à venir ?

Pelucha et Feygan était depuis peu sorti du magasin de friandises Honeydukes pour se diriger vers les Trois Balais.
Le jeune Gryffondor venait d'offrir une plume en sucre à la jeune fille et ils se dirigeaient toujours main dans la main pour ne pas se perdre dans la masse de personnes qui tout comme eux se baladait dans la ruelle.
Quand enfin ils arrivèrent à destination, Pelucha ouvrit de grand yeux face au Pub ou Feygan l'avait conduite...
L'étonnement qu'elle avait en elle, la fit s'arrêter brusquement...
La terrasse du café était remplie par des personnes très particulières que Pelucha n'avait jamais vue... Des sorciers aux regards vitreux, des petits lutins aux chapeaux vert, de belles demoiselles qui buvaient avec des hommes totalement sous leurs charmes...

Elle regarda alors Feygan pour lui faire comprendre que jamais elle n'avait été dans un pub de sa vie.. Après tout, elle vivait à la campagne avant et avait un mode de vie de nomade en tant que gitane! Et n'avait donc jamais mis les pieds dans un café quelque qu'il soit et ne savait pas trop quoi faire face à cette nouveauté majeure!

Mais la curiosité prit le dessus sur la légère angoisse qui la parcourait...
Elle avanca donc d'un pas mal assuré vers la porte du Pub et la poussa de toutes ces forces.

En pénétrant à l'intérieur la chaleur du feu qui ronronnait dans la cheminée l'envahit et une vague de soulagement avec!
Le café ne ressemblait en aucun à se qu'elle avait imaginé... Il était accueillant et chaleureux et les clients rigolaient de bon coeur des discutions qu'ils pouvaient avoir entre eux!

Pelucha se tourna vers Feygan qui l'avait suivi à l'intérieur et lui demanda gentiment...

- Ou souhaitez-vous qu'on s'assoit Monsieur?

**▸ GRADE(S)** : **RETRAITÉ** **▸ MESSAGES** : 134

Feygan, toujours en la compagnie de Pelucha Ramirez, avait quitté Honeydukes pour se rendre aux Trois balais, al taverne de Pré-au-Lard. En chemin, peut être a cause de la surprise, la petite Pelucha avait marqué un temps d'arrêt. Bien que l'établissement était simple, peut être avait-il impressionner la très jeune demoiselle.

Néanmoins, le sorcier n'eut pas le temps de faire la moindre remarque pour apaiser la Ramirez, que cette dernière reprenait directement la marche. L'adjoint de SCM reconnut là le courage d'une Gryffondor, ou bien étais-ce de la curiosité. Feygan n'aurait pu le dire.

A peine avait-il franchis le seuil de la taverne avec Pelucha que la chaleur du feu le revigora, il était tellement bon de se trouver dans cet endroit chaleureux où tous buvaient, riaient et parlaient de bon cœur.

- Ou souhaitez-vous qu'on s'assoit Monsieur?

La jeune Pelucha venait de poser cette simple question, pour toute réponse, le sorcier indiquas une table vide avec deux chaises. Il s'y rendit en compagnie de sa jeune et nouvelle amie. Il s'installa face à la Ramirez, et sortit ses achat de chez Honeydukes. Il partagea ses caramels et ses chocolats en deux parts égales, et mit la boite de dragées surprise entre eux deux.

- Voici t'as part Pelucha, et si l'aventure te tente, prends donc l'une de ces dragées au goût impossible a deviné d'avance.

Tout en parlant, Feygan tendit sa part de bonbon à Pelucha d'une main, et pris une dragée surprise de l'autre. Tout Occlumens qu'il était, le goût de choux de Bruxelles le fit devenir presque vert. Sur tout les goûts possibles, il devait directement tombé sur son légume détesté...

- Vous désirez boire quoi ?

La serveuse, Rosemerta, venait de faire son apparition pendant que Feygan grimaçait encore. Malgré cela il parla d'un ton calme et très polie.

- Pour ma part, je désirerai boire 5 tasses de thé vert la menthe, ou plutôt non, mettez m'en 6, pour faire passer cet horrible goût de choux de Bruxelles. Quand à ma jeune amie, elle prendras...

Pelucha se dirigea vers la table vide que Feygan lui avait indiquée et s'assit.
Celui-ci s'installa en face d'elle et commença et repartir les achats de chez Honeydukes pour en tendre la moitié à Pelucha!
Celle-ci le remercia de son plus beau sourire.

- Voici t'as part Pelucha, et si l'aventure te tente, prends donc l'une de ces dragées au goût impossible a deviné d'avance.

Pelucha se laissa tenter par un des ces bonbons mystères qui était très adoré des sorciers malgré que certains pouvaient avoir un gout vraiment épouvantable.
Avant qu'elle ai mis le sien en bouche, elle remarqua la grimace que son nouvel ami venait de faire en mettant une des draguées en bouche... Apparemment le gout ne lui convenais pas du tout!
Malgré cela, Pelucha mis à son tour le bonbon dans sa bouche, après tout qui ne tente rien, n'as rien et Pelucha était d'humeur a faire de nouvelles découvertes aujourd'hui!

Légèrement soulagée, Pelucha découvrit le gout de sa friandise qui était la noix de coco, un des fruits préférés de la jeune fille.

- Vous désirez boire quoi ?

Une jolie serveuse c'était approchée de la table des deux amis pour venir prendre la commande..
Feygan répondit le premier...

- Pour ma part, je désirerai boire 5 tasses de thé vert la menthe, ou plutôt non, mettez m'en 6, pour faire passer cet horrible goût de choux de Bruxelles. Quand à ma jeune amie, elle prendras...

Puis se tourna vers Pelucha pour savoir se qu'elle prendrait... Sans aucune hésitation la jeune Gryffondor pris commande...

- J'aimerais un jus de pamplemousse rose s'il vous plait!

La serveuse acquiessa et se dirigea vers son bar, pour revenir comme elle était venue avec un plateau à la main portant les boissons commandées...
Pelucha la remercia et pris son verre en main.

- A nous!! dit-elle avec un sourire en direction de Feygan.

**▸ GRADE(S)** : **RETRAITÉ** **▸ MESSAGES** : 134

Feygan vit, avec joie, que la petite Ramirez ne semblait pas trop perturbée par ce rendez-vous improvisé. A peine Rosemerta s'était-elle retourné vers la jeune fille de 13 ans, que cette dernière commandas un jus de pamplemousse rose. Il ne fallut pas longtemps à la serveuse pour revenir avec les 6 tasses de thé et le jus de fruit, mais Feygan eut le temps de prendre une autre dragée, au goût d'épinard cette fois, sont légume vert préféré.

Les boissons servies, Pelucha désiras trinquer avec son compagnon de table. Ce dernier pris l'une des tasses présentes pour ce faire, car avec les 6 en même temps cela lui aurait été compliqué.

-A nous, commenças la jeune fille.

- Au hasard qui nous as fait nous croisés, terminas Feygan avec un sourire.

Les discussions dans la salle étaient nombreuses, les gens autours d'eux riaient et buvaient de bon coeur. Et bien malgré lui, Feygan tendait l'oreille, dès fois que l'une des conversation ait un rapport avec sa face caché de Gardiens. Cette façon de faire était devenus chez lui une seconde nature, tant cet œuvre était importante pour son projet personnel...

Si seulement je savais où les trouvés, je pourrai alors...

Le file de ses pensées fut subitement interrompus, sa jeune compagne de table venait de commencer à le dévisager. Sûrement attendait-elle son dus. Aussi Feygan but sa première tasse de thé avant de commencer à parler.

- Allez chose promise, chose due. Il est temps de discuter ensemble de ce qui nous préoccupe. Pour ma part c'est assez simple et idiot en fait, au cours de la journée j'ai eut des petits soucis avec les créatures de mademoiselle Cassiopée, j'ai du soigner un hippogriffe qui s'était ouvert le flanc, rien de bien grave, mais je n'aime pas voir ces sublime créatures saigner...

Feygan marquas une pause qui dura le temps de vider une autre tasse de thé vert à la menthe, ainsi que le temps nécessaire pour déballer, et avaler, un chocolat de chez Hoeydukes.

- Ensuite, pour me changer les idée je me suis entraîner au maniement du sabre japonais moldus... Miss Jenkins, la professeur d'astronomie, m'as offert son aide en se joignant à moi, mais au cours de l'entraînement je l'ai blesser légèrement, ce qui est la preuve que je n'étais pas du tout concentré sur ce que je faisais... Et crois moi, dans mon cas il ne peux y avoir pire faute personnelle.

Ayant finit son petit récit, l'adjoint de SCM attendit patiemment que la Ramirez démarre le sien, ce sans la brusquer le moins du monde.

Après avoir trinquer, Pelucha remarqua que le jeune Gryffondor se perdait peu à peu dans ces pensées... Ne voulant pas le déranger dans sa méditation, elle attendit patiemment qu'il se tourne vers elle pour lui parler!

Elle sirotait tranquillement son jus de pamplemousse de rose, quand Feygan se tourna vers elle pour constater qu'il était prés à lui parler...

- Allez chose promise, chose due. Il est temps de discuter ensemble de ce qui nous préoccupe. Pour ma part c'est assez simple et idiot en fait, au cours de la journée j'ai eut des petits soucis avec les créatures de mademoiselle Cassiopée, j'ai du soigner un hippogriffe qui s'était ouvert le flanc, rien de bien grave, mais je n'aime pas voir ces sublime créatures saigner...

Il marqua une petite pause pour boire une tasse de thé... Pelucha l'écoutait attentivement et il repris...

- Ensuite, pour me changer les idée je me suis entraîner au maniement du sabre japonais moldus... Miss Jenkins, la professeur d'astronomie, m'as offert son aide en se joignant à moi, mais au cours de l'entraînement je l'ai blesser légèrement, ce qui est la preuve que je n'étais pas du tout concentré sur ce que je faisais... Et crois moi, dans mon cas il ne peux y avoir pire faute personnelle.

Feygan finit son récit et attendit que la jeune Ramirez se confie à son tour.
Pelucha pris une inspiration pour commencer son récit...

- Vous m'avez trouvée un peu nostalgique car le magasin que je regardais contenait des souvenirs pour moi...

Elle passa la main autour de son cou pour faire sortir la chaine en argent qui l'ornait.

-Ceci est un cadeau que ma grand-mère m'as offert à ma naissance... C'est un pendentif qui se transmet de génération en génération... C'est pour ne jamais que j'oublie que j'ai des origines gitanes... Et disons que je ne peux plus avoir de contact avec ma famille à l'heure actuelle...

Terminant son récit, elle regarda Feygan qui l'écoutait attentivement. Il n'était pas dans son habitude dans se confier aux gens, mais Feygan lui donnait un sentiment de confiance et avec lui, il était facile de pouvoir discuter et Pelucha appréciait beaucoup ça!

- Et pour votre amie, je suis sur qu'elle ne vous en veux pas... Mais à quoi pensiez-vous pendant votre entrainement?

Pelucha se rendit compte qu'elle avait été très indiscrète vis-à-vis de son nouvel ami.. Un peu honteuse, elle se mit à rougir depuis la racine de ces cheveux!

**▸ GRADE(S)** : **RETRAITÉ** **▸ MESSAGES** : 134

L'ambiance de la taverne n'avais pas subie de grand changements, des gens étaient sortis, autres étaient rentrés, les conversations étaient toujours aussi bruyante et de temps en temps un gros rire bien gras dépassait en sonorité tout les autres bruit du lieu.

Le Noldorïm, qui venait de faire un bref résumer de sa journée, écoutais désormais la Ramirez parler. Ainsi Feygan découvrit, non sans surprise, que la petite Pelucha était d'origine Gitane. Non pas que cela ait une quelconque importance aux yeux du sorcier pour qui, tout le monde, humain ou créature magique, avait droit au respect et à la liberté.

Soudain Pelucha tira une chaîne d'argent de sous sa tunique.

-Ceci est un cadeau que ma grand-mère m'as offert à ma naissance... C'est un pendentif qui se transmet de génération en génération... C'est pour ne jamais que j'oublie que j'ai des origines gitanes... Et disons que je ne peux plus avoir de contact avec ma famille à l'heure actuelle...

-Ainsi j'avais raison, elle était bien en train de se remémorer de tristes souvenirs.

Comme a son habitude d'occlumens, Feygan ne laissa transparaître aucune émotion quand à ses pensées personnelles. Se contentant de siroter l'une de ses tasses de thé, Feygan écoutait en silence, mais lorsque Pelucha terminas sa petite histoire, il offrit à la jeune fille un magnifique sourire empreint de chaleur et d'amitié.

-Et pour votre amie, je suis sur qu'elle ne vous en veux pas... Mais à quoi pensiez-vous pendant votre entraînement?

La question de la Ramirez prit Feygan de cours, cependant il décidas de lui répondre, en omettant volontairement les détails qui pourrait traumatiser la petite fille.

-Disons pour faire simple que durant notre petit duel, je me suis retrouver dans une situation qui m'as rappeler un combat que j'ai livré chez moi, et durant ce bref laps de temps mon corps a agit tout seul... Heureusement la blessure était bénigne et un peu d'essence de dictame as eut vite fait de soigner la professeur d'astronomie.

Encore une fois Feygan sourit a l'enfant, il aimait bien cette petit fille qui lui posait des question parfois un peu indiscrète.

- Mais dis moi, pourquoi ne pourrait tu plus avoir de contact avec ta famille ?

Feygan savait que cette question était très personnelle, et que la réponse pouvait être véritablement horrible a entendre surtout avec ce qui se passait en ce moment dans le monde. Mais s'il voulait aider au mieux la petite Pelucha, il lui fallait savoir pourquoi...

Malgré la question très indiscrète qu'elle venait de poser, Feygan y répondit... Pelucha appréciait beaucoup la confiance qui s'installait petit à petit entre eux deux!

-Disons pour faire simple que durant notre petit duel, je me suis retrouver dans une situation qui m'as rappeler un combat que j'ai livré chez moi, et durant ce bref laps de temps mon corps a agit tout seul... Heureusement la blessure était bénigne et un peu d'essence de dictame as eut vite fait de soigner la professeur d'astronomie.

Pelucha lui répondit par un sourire plein de compassion face à la réponse qu'il venait de donner!
Elle comprenait que pour le Gryffondor la situation n'était pas facile et qu'il s'en voulait d'avoir perdu la contrôle face à cet entrainement!

Pelucha se sentait de plus en plus proche du jeune homme, car comme elle, le passé venait souvent hanté ces pensées et obscurcissait la réalité.
N'attendant pas une réponse, Feygan poursuivit...

- Mais dis moi, pourquoi ne pourrait tu plus avoir de contact avec ta famille ?

Vu la franchise qu'il avait eu envers elle, la Gryffondor n'eut pas de mal à lui répondre même si pour elle il était très difficile de parler de ce passage de sa vie... Car Feygan était la première personne à qui elle en parlait car c'était trop douloureux et elle savait que personne ne comprendrait son histoire..

- Pour la simple et bonne raison que j'ai dû m'enfuir pour pouvoir vivre... Le chef de ma tribu m'avait choisie comme épouse pour son fils... Mais je ne pouvais pas concevoir un mariage forcé et mes parents non plus... Mais un refus signifiait un déshonneur pour ma famille qui est considérée comme influente dans la tribu gitane... Ne voulant pas causé plus de problème, je me suis enfuie...
Car il faut savoir que quand une fille refuse le mariage, son père doit se battre contre le futur gendre et je ne voulais pas prendre le risque de perdre mon père... Et puis je n'aurai pas supporté de me retrouvée enchainée à un homme que je n'aime pas! L'amour, le vrai est trop important à mes yeux!

Pelucha ayant terminé, elle but une gorgée de jus de pamplemousse rose avant d'essuyé une larme qui venait de couler sur sa joue! Car même si elle savait que la décision qu'elle avait prise était pour le bien de tous, sa famille lui manquait énormément! Elle regarda Feygan qui avait écouté son récit sans l'interrompre et se demandait à quoi celui pouvait bien penser d'elle en sachant se qu'elle avait fait!

**▸ GRADE(S)** : **RETRAITÉ** **▸ MESSAGES** : 134

Feygan en était à sa dernière tasse de thé vert à la menthe. La journée était passée bien plus vite qu'il n'en avait parus au jeune homme. Cela était du à la magnifique, et oh combien instructive, conversation que le jeune homme avait entretenue avec la petite Ramirez.

- Ainsi tu as fuis ta famille pour leur épargner un déshonneur certains, ainsi que de violentes représailles. Ma foi, je comprends que le choixpeau t'ai amené chez Gryffondor.

Encore une fois Feygan eut une pensée à l'égard de la petite Ramirez, et encore une fois cette pensée, bien qu'attendrissante, ne put être visible par nul autre que l'Occlumen qu'il était.

Décidément elle et moi nous nous ressemblons énormément, elle aussi à sacrifier de sa personne pour faire ce qui était juste...Toutefois nous restons largement différents tout deux, qui sait si elle aurait réagis comme je le fit avec mes parents...

La soirée gagnant sur le jour, les conversations dans la taverne se faisait plus calmes et moins chaotiques. Les grosses voix et les éclats de rire étaient encore présents mais beaucoup moins qu'as leur arrivé. Cela facilitait grandement l'écoute discrète que pratiquait l'Occlumens depuis son entré dans le bâtiment.

Même s'il était en compagnie d'une élève de Poudlard en la personne de Pelucha, le Gardiens qu'il était ne pouvait pas ne pas se tenir ses gardes, à l’affût de la moindre indication utile qui se perdrait dans une foule.

Observant d'un oeil nouveau sa compagne de table, Feygan en pouvait plus s'empêcher de lui sourire. Comme pour lui la vie n'avait pas été tendre avec cette enfant, et la voir ainsi prisonnière d'une solitude qu'il connaissait parfaitement le fit réagir.

-Tu as fait preuve de courage Pelucha, cela je te l'assure. Mais si tu reste solitaire dans la vie, cela ne servirai a rien. Aussi je te fais une simple proposition, ce en plus de te donner un bon conseil pour ton avenir. Commençons par le conseil, quand tu te sent mal comme ça as été le cas cette après midi, parles en aux amis que tu ne devras pas manquer de te faire, ici à Poudlard, car c'est faire preuve de courage et de sagesse, que de ne pas garder pour soi les fardeaux de notre vie.

Feygan fit une brève pause, le temps de finir sa dernière tasse de thé, et de reprendre son souffle.

- Maintenant voici ma proposition. Moi, Feygan Noldorïm, te propose d'être l'une des personnes avec qui tu pourras partager ton fardeau durant tout le temps que tu passeras à Poudlard, ainsi que celui qui passeras après. Cela te dit que nous devenions amis toi et moi ? Par contre nous devrions rentré, al journée est bien avancée et le couvre feu des élèves ne devrait plus trop tarder.

Attendant patiemment la réponse de Pelucha, Feygan fit également signe a Rosmerta qu'il désirait que cette dernière lui apporte sa note. Pour le suppléant de SCM le temps de retourner auprès de ses bêtes magiques venait d'arriver.

- Maintenant voici ma proposition. Moi, Feygan Noldorïm, te propose d'être l'une des personnes avec qui tu pourras partager ton fardeau durant tout le temps que tu passeras à Poudlard, ainsi que celui qui passeras après. Cela te dit que nous devenions amis toi et moi ? Par contre nous devrions rentré, al journée est bien avancée et le couvre feu des élèves ne devrait plus trop tarder.

Pelucha ne savait pas trop quoi répondre à son interlocuteur, après tout, elle ne voulait pas non plus déranger l'adjoint avec tout ces états d'âmes, mais elle devait quand même bien reconnaitre que d'avoir parler et vider son sac lui avait fait du bien... Même si la douleur était là, elle s'était un peu atténuée pour laisser une sensation de légèreté que la jeune fille ne connaissait pas depuis le temps ou elle était partie loin de chez elle... De plus, elle savait que Feygan avait raison, beaucoup d'élèves de l'école était venue lui tendre la main pour se lier d'amitié avec elle, et c'est elle qui avait refusé à chaque fois de se lâcher totalement en présence de ces nouveaux camarades... Mais elle savait maintenant que les choses allait changer, car elle ne voulait pas tomber dans la mélancolie! Sa famille ne l'aurait jamais accepté et elle voulait continué à être la fierté de sa tribu!

-Je suis d'accord pour être amie avec toi! Et n'hésite pas non plus à venir me voir en cas de besoin!

Pelucha savait que le jeune homme ne lui dirait jamais toute la vérité à cause de son âge mais elle voulait malgré tout qu'il sache que lui non plus n'était pas tout seul! Comme le couvre feu était bientôt là, Pelucha vida le reste de son verre de jus de pamplemousse rose et se leva de table en même temps que Feygan pour rejoindre l'extérieur et pouvoir rentrer au château. Dehors, ils y avaient encore quelques élèves qui se dirigeaient vers la route principale qui reconduisait vers le grand château. Côte à côte, Feygan et Pelucha marchèrent eux aussi sur cette grande route pour chacun rejoindre leurs activités respectives.

**▸ ANNÉE** : 1e année **▸ MESSAGES** : 13

C'est une belle après midi. Le soleil brille de mille feux. Aucun nuage à l'horizon. Le temps est parfait pour s'adonner à une promenade dans le parc, agrémenté d'une chasse aux blaireaux et d'un périple dans la forêt interdite. Je me lève de table, rassasiée et prête à donner à Cygoy la plus belle des promenade. Celle-ci me regarde avec ses grands yeux noirs. Elle sait que nous allons sortir.
Mais je sens une chaleur. Elle vient de la poche arrière de mon pantacourt en jean. Je sors la source de cette chaleur, c'est mon rappeltout. La fumée à l'intérieur s'affole et rougit. J'ai oublié la sortie à Pré-au-lard.

Dommage cela aurait pu être un agréable après-midi. Tous les élèves autorisés à sortir s’agglutinent à la limite imaginaire que représente le grand portail de fer à l'entrée du château. Ils rient tous. Ils sont contents de sortir un peu de leur misère d'étudiants frustrés. Quand je pense que je vais devoir les supporter toute la journée dans ce village ridiculement petit. Ah ma Brest natale me manque !

Soit, allons à Pré-au-lard. Je montre mon autorisation de sortie au gardien et franchie la limite imaginaire. Serais-je libre ?
Je monte dans une de ces calèches qui, par magie, avancent sans qu'on ait besoin de les tracter. J'ai entendu un lion dire qu'en vérité elles étaient tirées par d'affreuses bestioles. Mais je ne me suis pas renseignée à ce sujet. Ce qui ne me ressemble pas d'ailleurs. Une fois dans le village sorcier, j'irai dans une librairie pour vérifier l'information. S'il se trouve qu'elle est fausse, ce Gryffon passera un sale quart d'heure.

Le trajet jusqu'à Pré-au-lard est très court, mais il me parait durer une éternité. Je partage ma calèche avec une Serdaigle prétentieuse et dérangée, et un Gryffondor bavard et potentiellement dérangé aussi. Quelque part je me dis que je les envie, et que c'est pour cela que je les déteste. J'aurais préférée être reconnue pour mon intelligence que pour ma ruse. Même si je n'ai rien à envier à cette aiglonne dont les notes sont probablement médiocres comparées aux miennes. Et j'aurais aimé aussi que le choixpeau remarque mon courage. Mon inconscience vous dites ? Qu'importe ça pourrait être du courage. Mais si Serpentard m'a appelée c'est probablement parce que ce n'est pas la charité qui m'étouffe.

Arrivée à destination. Je me dirige d’abord vers les Trois Balais. Une boisson s'impose. Pas d'alcool pour les étudiant de premier cycle ? Étonnant qu'on ne vende pas d'alcool aux enfants de 11 ans...
J'entre dans le bistrot et remarque une place libre dans le coin gauche du fond. Je m'y précipite et prends une chaise près de la fenêtre. Le brouhaha de la salle ne me permet pas de suivre une quelconque conversation. Cette manie de m'éloigner des gens me fera mourir d'ennuis !
Plutôt donc que de rire de la bêtise des gens, je sors un livre de l'énorme sac à dos qui tout comme Cygoy me suis absolument partout. Mes yeux bleus suivent le mouvement des mots, des phrases, des chapitres... Ce philosophe moldu est un génie !

Cygoy me grimpe sur les genoux, elle tapote mes cuisses de ses pattes afin d'y déloger un potentiel intrus. Un scorpion peut-être ? Une fois tout risque écarté, elle se blottie tout contre moi. Sa fourrure abondante et noire ne laisse pas reconnaitre une petite chienne. Une écharpe des années 70' peut-être. Je sens son cœur battre. C'est une sensation qui me rassure. Tant qu'elle vit, je suis.